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QUEEN MARY 2, paquebot

La propulsion du « Queen Mary 2 »

Système de propulsion du <it>Queen Mary 2</it> - crédits : B. Boger/ Aker Yards France

Système de propulsion du Queen Mary 2

Pour assurer la vitesse maximale requise de 29 nœuds, le choix de la propulsion s'est porté sur quatre pods. Ce sont des nacelles suspendues à la coque du navire et qui comprennent un moteur électrique entraînant en prise directe une hélice à pas fixe. Deux des quatre nacelles sont orientables pour assurer la gouverne. Au total, 90 mégawatts assurent la propulsion de ce paquebot. La puissance requise pour assurer l'alimentation des pods est fournie par une usine électrique importante constituée de quatre moteurs diesels de forte puissance et de deux turbines à gaz. L'ensemble peut produire au maximum 120 mégawatts. La puissance non consommée par la propulsion est utilisée pour alimenter le reste des services du navire (éclairage, chauffage, air conditionné, cuisines, auxiliaires machine, etc.).

Les essais à quai ont nécessité une attention toute particulière. Du fait de la puissance installée très importante et de la taille du navire, il n'a pas été possible de tester totalement cette puissante usine électrique ni de reproduire ou de simuler les conditions de navigation. Seuls les essais en mer pouvaient permettre de procéder aux ajustements nécessaires.

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<it>Queen Mary 2</it> - crédits : Justin Sullivan/ Getty Images News/ AFP

Queen Mary 2

Système de propulsion du <it>Queen Mary 2</it> - crédits : B. Boger/ Aker Yards France

Système de propulsion du Queen Mary 2