ROMAN DE LA ROSE (G. de Lorris et J. de Meun) Fiche de lecture
Bibliographie
G. de Lorris & J. de Meun, Le Roman de la Rose, éd. F. Lecoy, Champion, Paris, 1965-1970 ; Le Roman de la Rose, éd. bilingue A. Strubel, coll. Lettres gothiques, Le Livre de poche, 1992.
Études
P.-Y. Badel, Le Roman de la Rose au XIVe siècle. Étude de la réception de l'œuvre, Droz, Genève, 1980
F. Gunn, The Mirror of Love. A reinterpretation of the « Roman de la Rose », Lubbock, Texas (É.-U.), 1952
A. Strubel, La Rose, Renart et le Graal. La littérature allégorique au XIIIe siècle, Champion, Paris, 1989.
La suite de cet article est accessible aux abonnés
- Des contenus variés, complets et fiables
- Accessible sur tous les écrans
- Pas de publicité
Déjà abonné ? Se connecter
Écrit par
- Emmanuèle BAUMGARTNER : professeure de littérature française à l'université de Paris-III-Sorbonne nouvelle
Classification
Autres références
-
ALLÉGORIE
- Écrit par Frédéric ELSIG , Jean-François GROULIER , Jacqueline LICHTENSTEIN , Daniel POIRION , Daniel RUSSO et Gilles SAURON
- 11 594 mots
- 5 médias
...Dieu, 1226), Raoul de Houdenc (Roman des Ailes, Songe d'Enfer), Huon de Méry (Tournoiement Antechrist). Mais le chef-d'œuvre du genre est le Roman de la Rose de Guillaume de Lorris (vers 1230). L'auteur multiplie les indices orientant la lecture. Il rassemble toutes les procédures allégoriques... -
ALLÉGORIE, notion d'
- Écrit par François TRÉMOLIÈRES
- 1 454 mots
...répond dans un monde saturé de signes, sorte de livre où déchiffrer les marques du Créateur – mais aussi miroir de soi dans la quête amoureuse du Roman de la Rose (xiiie siècle), ou celle guerrière et chevaleresque des romans arthuriens. Cette prolifération du sens se retrouve dans l'... -
CHAUCER GEOFFREY (1340 env.-env. 1400)
- Écrit par Paul BACQUET
- 1 288 mots
- 1 média
1. La période française (traduction partielle du Roman de la rose et The Book of the Duchess). -
ROMAN - Genèse du roman
- Écrit par ETIEMBLE
- 5 817 mots
- 1 média
Qui oserait pourtant soutenir que Lancelot ou le Roman de la Rosetransposent littérairement « la vie quotidienne dans la société individualiste née de la production pour le marché » ? Non pas Köhler, pour qui les romans de Chrétien de Troyes exprimeraient plutôt la rancœur de petits nobles...