VAUGHAN SARAH (1924-1990)
Discographie sélective
I'll wait and pray (avec Billy Eckstine, 1944) ; Billy Eckstine (1945) ; Lover Man (avec Dizzy Gillespie, 1945) ; It might as well be spring (avec John Kirby, 1946) ; Body and Soul (1946) ; I Cover the Waterfront (1947) ; It's Magic (1947) ; Mean to Me (1950) ; Lullaby of Birdland (1954) ; Divine Sarah Sings (1954) ; Gershwin Songbook (1954) ; Sarah Vaughan with Clifford Brown (1954) ; In the Land of Hi-Fi (1955) ; Sassy (1956) ; Swingin' Easy (1957) ; At Mister Kelly's (1957) ; Broken-hearted Melody (1958) ; Sarah Vaughan Sings George Gershwin (1958) ; No Count Sarah (1958) ; The Divine One (1961) ; Count Basie/Sarah Vaughan (1961) ; After Hours (1961) ; You're Mine You (1962) ; Sarah + 2 (1964) ; Sassy Swings Again (1967) ; Sarah Vaughan-Michel Legrand (1972) ; Live in Japan (1973) ; How Long Has This Been Going On ? (1978) ; Crazy and Mixed Up (1982) ; Brazilian Romance (1987).
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Écrit par
- Pierre BRETON : musicographe
Classification
Média
Autres références
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JAZZ
- Écrit par Philippe CARLES , Jean-Louis CHAUTEMPS , Encyclopædia Universalis , Michel-Claude JALARD et Eugène LLEDO
- 10 992 mots
- 26 médias
...maître de la batterie, et Ray Brown reprend, à la contrebasse, la place souveraine qu'avait tenue, à la période précédente, Jimmy Blanton. Une chanteuse, enfin, à la voix sensuelle et étonnamment ductile, tire un profit séduisant des trouvailles du bop :Sarah Vaughan (Sassy's Blues). -
Lover man, VAUGHAN (Sarah)
- Écrit par Eugène LLEDO
- 312 mots
Née dans un environnement familial qui favorise la musique, Sarah Vaughan (1924-1990) apprend à chanter et à jouer du piano dès son plus jeune âge. En 1943, après avoir remporté le concours pour amateurs organisé par l'Apollo de Harlem, elle est engagée dans le grand orchestre de Earl...