SOLFÈGE
Bibliographie
P. Boulez, Penser la musique aujourd'hui, Gonthier-Schotts Soehne, Mayence, 1963 ; La Musique en projet, ouvrage collectif, Cahiers Renaud-Barrault, I.R.C.A.M., Gallimard, Paris, 1975
M. Catillon, Vers le langage des sons, Van de Velde, Paris, 1980
J. Feuillie, Méthode de solfège atonal, Publ. Univ. de Rouen, 1986
A. Hodeir, Les Formes de la musique, P.U.F., Paris, 1978
J.-P. Holstein, Le Solfège, coll. Que sais-je ?, ibid., 1987
O. Messiaen, Technique de mon langage musical (2 cahiers), A. Leduc, Paris, 1947
A. A. Moles, Les Musiques expérimentales, Cercle d'art contemporain, Paris-Zurich-Bruxelles, 1960
P. Schaeffer, À la recherche d'une musique concrète, Seuil, Paris, 1952
R. Siohan, Stravinski, ibid., 1959
« Le Solfège », in Marsyas, no spéc. 27, Paris, 1993.
La suite de cet article est accessible aux abonnés
- Des contenus variés, complets et fiables
- Accessible sur tous les écrans
- Pas de publicité
Déjà abonné ? Se connecter
Écrit par
- Robert SIOHAN : inspecteur général de la Musique, compositeur, chef d'orchestre
Classification
Média
Autres références
-
BÉCARRE, musique
- Écrit par Pierre-Paul LACAS
- 163 mots
Signe musical ♮ qui, placé devant une note, annule l'altération qui l'affectait, dièse ou bémol, que cette altération soit passagère (valable pour la seule mesure), ou constitutive (prévue pour tout un morceau par l'ensemble des altérations notées en début de portée, que l'on nomme armature). On...
-
DIAPASON
- Écrit par Jacques CHAILLEY
- 2 736 mots
...justement claves (clefs) – désignaient la touche du clavier ; les syllabes s'y ajoutaient de façon variable selon le déroulement de la mélodie. On solfiait selon les syllabes – donc en hauteur rigoureusement relative, la même touche C pouvant s'appeler selon les cas ut, fa ou sol ; on... -
NEUMATIQUE, musique
- Écrit par Pierre-Paul LACAS
- 490 mots
Dans l'écriture de la musique, la notation a connu notamment les accents, dérivés des accents grammaticaux, les points superposés et une combinaison des deux. Les scribes du Moyen Âge utilisèrent des signes (en grec : neuma) pour fixer le chant liturgique de l'Église romaine. On rencontre...
-
PAUSE, musique
- Écrit par Pierre-Paul LACAS
- 108 mots
Signe musical correspondant à un silence dont la durée équivaut à celle d'une ronde. C'est un trait gras qui est placé au-dessous de la quatrième ligne de la portée.
La demi-pause est une figure qui correspond au silence dont la durée équivaut à celle d'une blanche. Le trait qui...