10 juillet-2 août 2003
France. Grâce présidentielle partielle et libération pour José Bové
Le 10, le président Chirac accorde une grâce individuelle de deux mois de remise de peine à José Bové, à l'occasion de la fête nationale. Le porte-parole de la Confédération paysanne, qui avait été interpellé en juin, purge une peine de dix mois de prison pour la destruction de plants de riz transgénique. Les partisans du chef syndical et l'opposition dénoncent une « demi-mesure ».
Le 1er août, le juge d'application des peines ordonnera la libération de José Bové, celle-ci étant effective le 2.