12 octobre 2008
France. Décision de ne pas extrader l'ancienne brigadiste rouge Marina Petrella
Le 12, la présidence de la République annonce son intention de ne pas extrader Marina Petrella vers l'Italie, en « application de la clause humanitaire » au cas de l'ancienne membre des Brigades rouges et « en considération de la seule situation de santé » de l'intéressée. Le dossier avait été plaidé auprès du chef de l'État par son épouse Carla Bruni-Sarkozy et la sœur de celle-ci, l'actrice Valeria Bruni-Tedeschi. En août, Marina Petrella avait été remise en liberté sous contrôle judiciaire en raison de son état de santé. La décision de l'Élysée est vivement critiquée en Italie.