14 septembre 2003
Guinée-Bissau. Coup d'État militaire
L'armée, dirigée par Verissimo Seabra Correia, chef d'état-major, renverse sans violence le président Kumba Yala, élu en janvier 2000, et installe un « comité militaire de restitution de l'ordre constitutionnel et démocratique » sous le prétexte de « préserver la démocratie et éviter la guerre civile ».