1er-4 octobre 2017
Belgique. Réaction aux violences survenues lors du référendum en Catalogne
Le 1er, le Premier ministre Charles Michel est le seul dirigeant européen à condamner la répression policière du référendum d’autodétermination organisé ce même jour en Catalogne. Il lance un « appel au dialogue politique ».
Le 3, le chef de l’Alliance néo-flamande (N-VA) Bart De Wever déclare que « la volonté du peuple [catalan] peut et doit être entendue », appelant l’Union européenne à jouer un rôle de médiatrice.
Le 4, le Parlement flamand dominé par le N-VA approuve à l’unanimité une résolution condamnant « avec force la violence incontrôlée des autorités espagnoles » lors du référendum. Toutefois, les Chrétiens-démocrates et flamands (CD&V), ainsi que les Libéraux et démocrates flamands (Open VLD) dénoncent également les erreurs commises par les indépendantistes catalans.