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25 mars 2005

France. Non-lieu général dans le volet toulousain de l'affaire Alègre

Le juge chargé d'instruire le volet toulousain de l'affaire Alègre rend une ordonnance de non-lieu général, en « l'absence de charges suffisantes contre quiconque ». En février 2003, deux prostituées toulousaines avaient accusé le tueur en série Patrice Alègre, condamné à la réclusion à perpétuité en février 2002, d'avoir été l'organisateur, dans les années 1990, à Toulouse, de soirées sadomasochistes auxquelles participaient des personnalités de la ville. L'affaire était rendue publique en avril. En mai, Dominique Baudis, ancien maire de Toulouse et président du Conseil supérieur de l'audiovisuel, annonçait que son nom était cité dans l'affaire et dénonçait une « machination ». Marc Bourragué, ancien substitut du procureur, et Jean Volff, ancien procureur général de Toulouse, étaient également impliqués. La raison des mensonges des prostituées demeure inconnue.

—  ENCYCLOPÆDIA UNIVERSALIS

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