BIJECTION, mathématiques
Articles
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CANTOR GEORG (1845-1918)
- Écrit par Hourya BENIS-SINACEUR
- 2 886 mots
- 1 média
...questions tournent autour de la distinction entre discret et continu, entre différents infinis et entre différents continus. Le critère est l’existence d’une correspondance bijective : si l’on peut trouver une bijection entre deux ensembles, ceux-ci ont le même degré dans l’échelle des infinis. Ainsi l’ensemble... -
ENSEMBLES THÉORIE DES
- Écrit par André ROUMANET et Jean-Luc VERLEY
- 8 606 mots
- 20 médias
Une application f : E → F qui est à la fois injective et surjective est dite bijective ; on dit aussi que f est unebijection. Les bijections jouent un rôle très important en théorie des ensembles (construction des cardinaux par exemple : cf. infini mathématique) ; du point de vue... -
FONCTION, mathématiques
- Écrit par Jean-Marie PRUVOST-BEAURAIN
- 1 227 mots
Depuis l'introduction en mathématique du mot « fonction » et de la notation y = f (x) par Gottfried Wilhelm Leibniz en 1692, à propos de parties de droites dépendant d'un point variable sur une courbe, cette notion, déjà présente implicitement dans la pensée de mathématiciens du ...
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INFINI, mathématiques
- Écrit par Jean Toussaint DESANTI
- 10 374 mots
La définition du concept de puissance n'offre pas de difficultés pour qui dispose du concept d'applicationbiunivoque. On dira que deux ensembles (et, à l'origine, Cantor raisonne dans le domaine de l'analyse, c'est-à-dire sur des ensembles de points) ont même puissance s'il est possible de définir,... -
NUMÉRATION
- Écrit par Josette ADDA
- 2 360 mots
Une application f d'un ensemble A sur un ensemble B est dite une bijection lorsque :