CROISSANCE ÉCONOMIQUE
Articles
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ÉCONOMIE MONDIALE - 2020 : l'effondrement économique, sombre corollaire de la crise sanitaire
- Écrit par Jean-Pierre FAUGÈRE
- 5 398 mots
- 3 médias
...due à la pandémie s’ajoute aux autres chocs conjoncturels qui affectent l’économie nippone : catastrophes naturelles, report des jeux Olympiques... La croissance de l’économie japonaise, faible en 2019, s’effondre en 2020 (–5,3 p.100) en raison de la contraction de la demande domestique, du tourisme,... -
ÉCONOMIE MONDIALE - 2019 : entraves à la croissance, recul de la mondialisation
- Écrit par Jean-Pierre FAUGÈRE
- 4 948 mots
- 5 médias
L'année 2019 se caractérise par un essoufflement de la croissance mondiale, accentué par une montée du protectionnisme et atténué par des conditions de financement exceptionnellement favorables.
En passant de 3,6 à 3 p. 100, la croissance de l’économie mondiale enregistre son niveau le...
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ÉCONOMIE MONDIALE - 2018 : croissance, restrictions commerciales et argent plus cher
- Écrit par Jean-Pierre FAUGÈRE
- 4 067 mots
- 7 médias
En termes de croissance, l’année 2018 semble une simple réplique de l’année précédente : la croissance mondiale du produit intérieur brut (PIB) reste à 3,7 p. 100, celle des pays avancés se maintient à 2,4 p. 100 et celle des pays en voie de développement et émergents (ou « pays du Sud »), à 4,7 p....
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ÉCONOMIE MONDIALE - 2017 : expansion, inégalités, fragilités
- Écrit par Jean-Pierre FAUGÈRE
- 3 887 mots
- 6 médias
La croissance mondiale s’est nettement accélérée en 2017, passant de 3,2 à 3,6 p. 100 par rapport à 2016, poussée par des taux d’intérêt faibles, un progrès des profits et des investissements, ainsi que par une hausse des prix des matières premières. Une grande partie des pays est concernée....
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ÉCONOMIE MONDIALE - 2016 : dynamisme asiatique et replis nationaux
- Écrit par Jean-Pierre FAUGÈRE
- 3 436 mots
- 7 médias
L’année 2016 est marquée, sur le plan économique, par une tendance de plusieurs pays au repli sur eux-mêmes. La comparaison entre la croissance de la production mondiale et la croissance du commerce mondial est lourde de signification. En 2014, le commerce mondial progressait de 3,9 p. 100,...
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ÉCONOMIE MONDIALE - 2015 : entre reprise et crise des matières premières
- Écrit par Axel MARMOTTANT
- 3 333 mots
- 7 médias
Lacroissance chinoise continue par ailleurs de ralentir, le P.I.B. progressant de 6,8 p. 100 en 2015 (7,2 p. 100 en 2014) selon les statistiques officielles. La Chine souffre d’un problème de surinvestissement dans certains secteurs. Même si le P.I.B. par habitant a été multiplié par plus de sept entre... -
ÉCONOMIE MONDIALE - 2014 : nouvelle répartition de l'activité
- Écrit par Axel MARMOTTANT
- 3 487 mots
- 4 médias
En 2014, la croissance de l'activité économique mondiale se situe à peu près au même niveau qu’en 2013, à 3,3 p. 100. Géographiquement, elle se répartit cependant de manière différente. Elle est plus forte dans les pays avancés, en raison de la reprise modérée de la croissance dans la zone ...
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ÉCONOMIE MONDIALE - 2010 : entre rigueur et relance économiques
- Écrit par Nicolas SAGNES
- 3 124 mots
L'année 2010 a pris quelque distance avec la tornade financière des années 2008 et 2009. L'économie mondiale est sortie de récession pour entamer une reprise, dans un contexte de croissance des échanges mondiaux après une contraction historique l'année précédente. La Chine s'est trouvée...
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ÉCONOMIE MONDIALE - 2007 : zone de turbulences
- Écrit par Nicolas SAGNES
- 3 054 mots
Les turbulences financières se sont manifestées au moment où l'Europe bénéficiait de sacroissance la plus forte depuis une décennie, à un rythme soutenu de 2,5 p. 100 après 2,8 p. 100 en 2006. La croissance de la zone euro a, en effet, été tirée par une accélération de l'investissement,... -
ÉCONOMIE MONDIALE - 2006 : symphonie de croissances
- Écrit par Nicolas SAGNES
- 2 877 mots
Lacroissance américaine est restée très élevée, à un rythme de près de 3,5 p. 100, à nouveau alimentée par la consommation des ménages et par l'investissement des entreprises. Toutefois, l'un des principaux facteurs à l'origine de la flambée dépensière des ménages au cours des années... -
ÉCONOMIE MONDIALE - 2004 : une reprise turbulente
- Écrit par Nicolas SAGNES
- 2 884 mots
L'activité asiatique a bénéficié de la vigueur de la demande américaine et aussi de la vivecroissance de l'économie chinoise. Cette dernière a constitué via ses importations le principal moteur de la croissance de la zone depuis la fin de 2003. Comme en 2003, le P.I.B. de la Chine a progressé... -
ÉCONOMIE MONDIALE - 2003 : une économie mondiale dans la tourmente
- Écrit par Nicolas SAGNES
- 2 971 mots
- 2 médias
...l'année ne laissait imaginer que l'activité américaine connaîtrait une telle accélération. Au cours de l'hiver, le produit intérieur brut (P.I.B.) avait progressé au rythme annualisé de 2 p. 100 : une performance significative, mais au-dessous du rythme potentiel de l'économie américaine (celui qui serait... -
ÉCONOMIE MONDIALE - 2000 : vers un rééquilibrage de la croissance mondiale ?
- Écrit par Jacques ADDA
- 3 064 mots
...européenne a cependant permis une détente des conditions monétaires qui a nettement stimulé l'activité dans la zone euro entre la mi-1999 et la mi-2000. Plus modérée que celle des États-Unis, la croissance européenne (3,4 p. 100 en 2000) s'avère aussi beaucoup plus équilibrée, l'inflation demeurant près... -
ÉCONOMIE MONDIALE - 1999 : la fin des turbulences ?
- Écrit par Jacques ADDA
- 3 446 mots
- 1 média
L' économie mondiale est sortie en 1999 du creux conjoncturel dans lequel elle s'était dangereusement engagée en 1998. La sortie de crise, étonnamment rapide, des économies émergentes en Extrême-Orient a largement contribué au regain d'optimisme sur les perspectives de la croissance dans le monde, tandis...
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ÉCONOMIE MONDIALE - 1997 : la crise asiatique
- Écrit par Tristan DOELNITZ
- 7 786 mots
Ces bons résultats ont contribué à la crise, dans la mesure où ils ont incité les investisseurs internationaux à financer le développement accéléré des E.D.A. : les performances enregistrées par Hong Kong, la Malaisie, les Philippines, Singapour, la Thaïlande et Taiwan leur tenaient lieu... -
ÉCONOMIE RÉGIONALE ET URBAINE
- Écrit par Jacques THISSE
- 12 110 mots
- 1 média
...peuvent y introduire quelques variations. En même temps que les populations se concentrent autour des nouvelles activités dans un nombre limité de lieux, une croissance économique jusqu'alors inconnue se manifeste, donnant naissance à ce que certains historiens appellent la « grande divergence ». Depuis... -
ÉDUCATION - Économie de l'éducation
- Écrit par François LECLERCQ
- 3 986 mots
L'effet de l'éducation d'un individu sur ses revenus devrait se traduire au niveau des pays par un effetsur la croissance économique. Les modèles théoriques dits de « croissance endogène » développés dans les années 1980 et 1990 à partir des travaux de Robert Lucas (Prix Nobel 1995) et Paul Romer... -
ÉGYPTE - L'Égypte républicaine
- Écrit par Encyclopædia Universalis , Sandrine GAMBLIN et Robert SANTUCCI
- 38 773 mots
- 16 médias
L'économie égyptienne bénéficie dans les premières années du gouvernement de Moubarak d'une conjoncture internationale favorable à lacroissance, notamment à travers la captation de diverses rentes géopolitiques : l'aide étrangère, américaine tout particulièrement, l'exploitation de gisements... -
ÉMIRATS ARABES UNIS
- Écrit par Philippe DROZ-VINCENT
- 6 061 mots
- 6 médias
...É.A.U. savent tirer profit de la mondialisation pour dynamiser leur économie. Le pays est membre de l’Organisation mondiale du commerce depuis avril 1996. Son P.I.B. est passé de 48 milliards de dollars en 1998 à 340 milliards de dollars en 2012 ; le P.I.B. par habitant de 17 719 dollars en 1998 à 49 800... -
ENQUÊTE SUR LA NATURE ET LES CAUSES DE LA RICHESSE DES NATIONS, Adam Smith - Fiche de lecture
- Écrit par Françoise DUBOEUF
- 1 273 mots
- 1 média
Comment conduire la nation au plus haut niveau de richesse ? Puisque cette dernière est définie comme la production annuelle obtenue grâce au travail, l'enrichissement de la nation repose sur l'augmentation de la quantité de travail et l'amélioration de sa productivité.