DOULEUR

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Articles

• MOELLE ÉPINIÈRE

  • Écrit par Paul LAGET
  • 5 076 mots
  • 5 médias
  ...contralatérale. Avant de le rejoindre, ils ont franchi la ligne médiane par la voie de la commissure blanche antérieure. C'est la grande voie spinale de la sensibilité thermique et de la sensibilité douloureuse, mais pour cette dernière on admet aujourd'hui qu'il ne s'agit que de son mode « rapide », c'est-à-dire...

• MORPHINE

  • Écrit par Hélène MOYSE , Michel PARIS et René Raymond PARIS
  • 2 086 mots
  • 3 médias
  ...central tels la moelle épinière, le tronc cérébral (bulbe), les centres diencéphaliques et corticaux. L'analgésie morphinique est sélective : la morphine est plus efficace vis-à-vis d'une douleur sourde et permanente que vis-à-vis d'une douleur aiguë et intermittente. L'effet de la morphine...

• NAISSANCE - Accouchement

  • Écrit par Bernard JAMAIN et Yves MALINAS
  • 4 246 mots
  • 1 média
  – Le motdouleur désigne traditionnellement la contraction de « travail » et, dans certaines langues, un seul terme signifie à la fois colique et contraction. La douleur est attachée aux symboles complémentaires de la mort et de la vie : de la mort parce qu'elle est « mauvaise », résulte d'une malédiction,...

• NEUROLOGIE

  • Écrit par Encyclopædia Universalis , Raymond HOUDART , Hubert MAMO et Jean MÉTELLUS
  • 30 259 mots
  • 7 médias
  ...polypeptides endogènes : les endorphines et enképhalines. Ces neurones enképhalinergiques apportent un élément nouveau et important dans la compréhension de la douleur. Ils interviennent aussi dans la régulation de l'humeur et du comportement (cf. opioïdes). On est là en présence d'une véritable neuroendocrinologie...

• NOSTALGIE

  • Écrit par Marie-Claude LAMBOTTE
  • 5 254 mots
  • 1 média
  ...au travail de deuil, dans lequel la liaison à l'objet doit se défaire entièrement. Peut-être découvrirait-on là le lieu et la source de la douleur, poursuit Freud, dans « le caractère irréalisable de l' investissement de l'objet en nostalgie[Sehnsuchtsbesetzung des Objekts] »...

• OBÉSITÉ (psychologie)

  • Écrit par Catherine DEVIDAL
  • 1 132 mots

  En 1997, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a défini l’obésité comme une accumulation excessive de graisse corporelle pouvant nuire à la santé. L’indice de masse corporelle (IMC) et la mesure du tour de taille permettent de déterminer le niveau d’adiposité et la répartition des tissus adipeux....

• OPIOÏDES

  • Écrit par Bernard Pierre ROQUES
  • 3 160 mots
  • 3 médias
  ...la naloxone, antagoniste spécifique du récepteur morphinique, ce qui démontre donc de manière définitive que les enképhalines endogènes protégées de leur dégradation par le Thiorphan sont bien impliquées dans le contrôle de la douleur et que ce contrôle exige la liaison aux récepteurs cérébraux.

• PERCEPTION TACTILE

  • Écrit par Arlette STRERI
  • 1 291 mots

  Le toucher est l’ensemble des sensations produites par une déformation mécanique de la peau. Classiquement, on distingue deux formes de toucher. D’une part, le toucher somesthésique correspond à la stimulation de la surface de la peau : il permet, par exemple, de ressentir une caresse ou encore...

• RÉACTION INFLAMMATOIRE

  • Écrit par Jean-Marc CAVAILLON
  • 4 573 mots
  • 5 médias
  ...Celle-ci facilite l’exsudation des protéines sanguines et du plasma, ce qui explique l'œdème associé à la réaction inflammatoire (d'où le gonflement et la douleur). Le déclenchement de ce phénomène est lié à la présence de cellules sur le site de l’agression (mastocytes) ou issues du sang, ( basophiles...

• RHUMATOLOGIE

  • Écrit par André-Paul PELTIER
  • 6 170 mots
  Les antalgiques sont utilisés dans la plupart des affections rhumatismales. L'OMS les a classés en quatre niveaux, en fonction de leur efficacité croissante sur les douleurs cancéreuses : le niveau I comprend tous les antalgiques non-opiacés, c'est-à-dire l'aspirine, certains dérivés des AINS et surtout...

• SOUFFRANCE

  • Écrit par Baldine SAINT GIRONS
  • 4 431 mots
  Seule la souffrance physique – la « douleur » – semblerait devoir faire l'objet d'une certitude : mieux localisée, plus sporadique et dotée de seuils d'intensité éventuellement déterminables, elle échapperait à cette suspicion qui caractérise la souffrance, dont la causalité, étant d'ordre suprasensible...

• SUICIDE ET CONDUITES SUICIDAIRES

  • Écrit par Fabrice JOLLANT
  • 5 951 mots
  • 5 médias
  De fait, au cœur du processus suicidaire se trouve la douleur psychique (nous éviterons le terme classique de « douleur morale », trop ambigu). La situation que vit le sujet le fait intensément souffrir. Cette douleur est source d’idées suicidaires et de risque de passage à l’acte. Toutes les douleurs...

• TRAUMATISMES

  • Écrit par René NOTO
  • 6 817 mots
  – Les troubles de la sensibilité sont caractérisés par la douleur, qui est fréquente dans la plupart des contusions, des atteintes ostéo-articulaires et des lésions plus complexes (fracas, écrasement, etc.).

• TROUBLES SEXUELS

  • Écrit par Paul BENSUSSAN
  • 5 588 mots
  Le « trouble lié à des douleurs génito-pelviennes ou à la pénétration » remplace dans le DSM-5 les termes de « dyspareunie » (douleur génitale déclenchée par le coït ou les tentatives de pénétration vaginale) et de « vaginisme » (contracture de la musculature du vagin bloquant toute pénétration), présentés...

• TROUBLES SOMATIQUES FONCTIONNELS

  • Écrit par Cédric LEMOGNE et Victor PITRON
  • 3 343 mots

  Lorsqu’un patient dit « j’ai mal », la responsabilité du soignant est de l’accueillir et de le soulager. Pourtant, une même lésion corporelle peut générer des symptômes d’intensité très différente. Parfois, la plainte est très intense alors que la lésion paraît bénigne : le patient a « trop »...

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