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LAGRANGE JOSEPH LOUIS (1736-1813)

Articles

  • LAGRANGE JOSEPH LOUIS (1736-1813)

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    Au crépuscule du xviiie siècle, le mathématicien Lagrange a donné au calcul des variations sa formulation générale en l'abordant de manière purement analytique ; il appliquera ses méthodes à la mécanique dont il donne un exposé systématique qui repose sur la théorie des équations...

  • ACTION & RÉACTION, physique

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    ...Théodicée de Leibniz, que la physique voit s'imposer une autre notion d'action. À l'origine de cette terminologie donc, la puissance divine. Plus laïquement, Joseph Louis Lagrange (1736-1813) montrera que la mécanique de Newton peut se déduire d'un « principe variationnel ». L'idée en est la...
  • ANALYSE MATHÉMATIQUE

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    ...entièrement connu par la donnée d'un nombre fini de paramètres réels qj(1 ≤ j  n) qui varient en fonction du temps t). La solution, due à Lagrange, consiste à chercher les « oscillations propres » (ou « en phase »), c'est-à-dire de la forme qj(t) = cjϕ(t), où cj est une constante,...
  • BESSEL FRIEDRICH (1784-1846)

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    En 1817, Bessel introduit les fonctions qui porteront son nom et qui s’avéreront indispensables à la description de la propagation des ondes.

    Né le 22 juillet 1784 à Minden en Westphalie, fils d’un petit fonctionnaire, Friedrich Wilhelm Bessel accomplit un début de scolarité si médiocre au lycée...

  • CALCUL INFINITÉSIMAL - Histoire

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    Quant à Lagrange, estimant la méthode des limites entachée d'un recours à la métaphysique et suspectant la rigueur de la méthode des infiniment petits, il s'efforça, dès 1772, de fonder l'analyse sur des méthodes algébriques et en particulier sur l'emploi des développements en séries de Taylor....
  • DIOPHANTIENNES APPROXIMATIONS

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    ...c'est-à-dire σ = (a τ + b)/(c τ + d) avec ad − bc = ± 1 et a, b, c et d entiers. (3) Une condition nécessaire et suffisante pour que τ présente un développement périodique est que τ soit un irrationnel algébrique du second degré (théorème dû àLagrange).
    pour tout n.
  • DIOPHANTIENNES ÉQUATIONS

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    • 6 121 mots
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    ...équation de conique à coefficients entiers, n'est intéressante que dans les cas parabolique ou hyperbolique. L'étude en a été faite par Euler et Lagrange. Dans le cas elliptique, en effet, il n'y a qu'un nombre fini (éventuellement nul) de solutions, qu'on peut déterminer par essais successifs....
  • ÉQUATIONS ALGÉBRIQUES

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    Les idées développées par Vandermonde se trouvent encore, indépendamment d'ailleurs, dans l'important mémoire de Joseph Lagrange, lu en 1771 : Réflexions sur la résolution algébrique des équations.
  • EULER LEONHARD (1707-1783)

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    • 2 759 mots
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    ...théorème pour n quelconque. Euler trouva une démonstration du fait que tout nombre premier de la forme 4n + 1 est somme de 2 carrés, mais laissa à Lagrange la gloire de démontrer que tout entier est somme de 4 carrés. Son habileté au calcul lui permit de trouver que 225 + 1 est divisible par 641,...
  • FONCTIONS REPRÉSENTATION & APPROXIMATION DES

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    ...de dérivation D. Ainsi, la formule de Taylor traduit la formule symbolique Th = exphD. Ce calcul, ébauché par Leibniz, a été systématisé par Lagrange et Laplace ; à la fin du xixe siècle, il a été repris dans le cadre général de la théorie des opérateurs de convolution, c'est-à-dire des opérateurs...
  • GÉOMÉTRIE

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    • 4 médias
    ...analytique ne prend cependant son essor que dans la seconde moitié du xviiie siècle. Dans l'esprit de ses travaux sur la mécanique analytique, Louis de Lagrange (1736-1813) souligne « avec combien de facilité et de succès la méthode algébrique peut être employée pour les questions qui paraissaient être...
  • GRAVITATION

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    Vers la fin du xviiie siècle, le mathématicien et physicien Joseph Louis Lagrange (1736-1813) propose une écriture différente de la gravitation dans le cadre du calcul des variations et d’une « mécanique analytique » dont la fécondité s’avère rapidement remarquable. La méthode de Lagrange introduit...
  • INTERACTIONS (physique) - Unification des forces

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    ...ces corps situés à une distance Dl’un de l’autre et G la constante de gravitation) ouvrent la voie à la physique moderne. Un siècle plus tard, Joseph Louis Lagrange (1736-1813) réécrit la dynamique newtonienne en s'appuyant sur la notion de potentiel gravitationnel, c’est-à-dire l’énergie potentielle...
  • MÉCANIQUE - Histoire de la mécanique

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    ...de ce principe demeure cependant délicate. D'Alembert ne l'illustrera guère que par l'oscillation des corps pesants et la rotation des corps autour de leur centre de gravité. C'est àLagrange (1736-1813) que revient l'honneur d'avoir achevé la prise de possession mathématique d'une idée féconde.
  • NOTATION MATHÉMATIQUE

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    Le premier « indice général » se trouve chez Lagrange, dans son travail sur la corde vibrante (1759) ; il appelle les élongations des points de la corde dans les points d'une division :
    et il arrive finalement à des formules telles que :
  • NUMÉRIQUE CALCUL

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    – Lagrange (1736-1813), dans La Théorie des fonctions analytiques (1797), utilise une variante de cette méthode pour démontrer le principe fondamental du calcul différentiel, suivant lequel une fonction admettant une dérivée positive est croissante ; ce principe est à la base de la formule de Taylor....
  • RADON JOHANN (1887-1956)

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    Pensée abstraite et pouvoir d'adaptation fondé sur l'intuition géométrique, tel est le double talent mathématique de l'Autrichien Johann Radon, qui est aussi bien capable de créer une théorie générale ou de traiter un problème particulier.

    Né à Tetschen (Bohême), Johann...

  • VARIATIONS CALCUL DES

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    On peut maintenant, avec J. L. Lagrange, considérer un élément ω de E comme une « variation » de la fonction f de D en introduisant la fonction g = f + ω. La formule de Taylor permet alors d'écrire, à des termes d'ordres supérieurs près (pour la norme ∥.1), la variation...

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Joseph Louis Lagrange - crédits : Fine Art Images/ Heritage Images/ Getty Images

Joseph Louis Lagrange