SAGE LE

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• IONIENS, philosophie

  • Écrit par Clémence RAMNOUX
  • 4 366 mots
  ...faiseurs de cosmogonies. À la manière d'Hésiode, il faut savoir embrasser toutes choses divines et humaines, et raconter l'histoire depuis le commencement. Un sage est donc à la fois un homme éduqué par les techniques récentes, accoutumé à leur vocabulaire et à leur exigence de rationalité, et un homme versé...

• PANTHÉISME

  • Écrit par Robert MISRAHI
  • 7 629 mots
  ...tragique, qu'on trouve développée chez les moralistes du stoïcisme romain sous la forme d'une philosophie de la liberté et, notamment chez Épictète, sous la forme d'une doctrine de l'identité fondamentale du sage, libre absolument, et de Dieu, maître et raison de toutes choses.

• SAGESSE

  • Écrit par Manuel de DIÉGUEZ
  • 10 396 mots
  Le sage observe donc les comportements des théories de la connaissance. Il voit les actes du savoir. Les systèmes sont des personnes à ses yeux. Il ne s'arrête pas aux explications que la raison ordinaire élabore ; car il sait que ces explications n'ont pas pour fondement véritable les principes qu'elles...

• SAINTETÉ

  • Écrit par André BAREAU , Yves CONGAR , Encyclopædia Universalis , Louis GARDET et Françoise MALLISON
  • 7 131 mots

  L'histoire des idées, soucieuse de classer les grandes attitudes morales, esquisse traditionnellement un triple portrait : le sage, le héros, le saint.

  Le sage parvient à l'équilibre, à la maîtrise de soi, en associant pratique et théorie, action et réflexion. Il cultive surtout les vertus d'ordre,...

• SEPT SAGES LES

  • Écrit par Clémence RAMNOUX
  • 449 mots

  Titre sous lequel Diogène Laërce honore Thalès de Milet, Bias de Priène, Solon d'Athènes, Chilon de Sparte, Périandre (tyran de Corinthe), Épiménide de Crète, Phérécyde de Syros, Pittacos de Mitylène, Cléobule de Lindos (à Rhodes), Myson (originaire d'une obscure bourgade continentale)...

• SOHRAWARDĪ ou SUHRAWARDĪ SHIHĀBODDĪN YAHYĀ (1155-1191)

  • Écrit par Christian JAMBET
  • 5 041 mots
  ...doivent être trouvés. Dans le prologue du Livre de la sagesse orientale, Sohrawardī expose sa doctrine de l'autorité : elle doit revenir au «  sage qui possède un haut degré d'expérience spirituelle ». L'idéal serait d'allier à la parfaite connaissance illuminative une souveraineté dans l'usage...