RÉDUCTION, chimie

Articles

• AÉROBIOSE & ANAÉROBIOSE

  • Écrit par Claude LIORET
  • 2 736 mots
  • 1 média
  ...chimique des liaisons pyrophosphates de l'adénosine triphosphate (ATP) constitue quasiment la seule forme d'énergie utilisable pour les processus vitaux. Ces liaisons sont formées par couplage avec les réactions d'oxydoréduction biologiques, à partir de l'ADP (adénosine diphosphate) et du phosphore minéral...

• ALCOOLS

  • Écrit par Jacques METZGER
  • 5 834 mots
  • 8 médias
  La réduction des aldéhydes et des cétones en alcools primaires et secondaires peut être réalisée par l'action de l'hydrogène en présence de catalyseur métallique comme le platine Pt et le nickel Ni :

  

• ALDÉHYDES ET CÉTONES

  • Écrit par Jacques METZGER
  • 7 356 mots
  • 4 médias
  Les principales méthodes de préparation des dérivés carbonylés mettant en œuvre la réduction du substrat concernent les acides et les fonctions dérivées.

• AMINES

  • Écrit par Jacques METZGER
  • 3 235 mots
  • 4 médias
  La réduction des dérivés azotés par l'étain et l'acide chlorhydrique conduit aux amines primaires.

• ANILINE

  • Écrit par Alain TRINQUIER
  • 1 376 mots
  • 2 médias
  La réduction du nitrobenzène peut utiliser :

• AUTOTROPHIE & HÉTÉROTROPHIE

  • Écrit par Alexis MOYSE
  • 2 504 mots
  • 2 médias
  ...étant sous la forme de gaz carbonique ou d'ions carbonate ou bicarbonate, l'autotrophie complète suppose la capacité de fixer ces substances et de les réduire, c'est-à-dire de passer du composé CO₂ à des constituants dans lesquels les atomes de carbone, d'hydrogène et d'oxygène sont...

• CHIMIOSYNTHÈSES

  • Écrit par Alexis MOYSE
  • 2 593 mots
  • 3 médias
  ...se rompt en deux molécules de phosphoglycérate, corps à trois atomes de carbone. Ensuite intervient la réaction énergétiquement la plus importante : la réduction du phosphoglycérate en un glucide (triose). Cette réaction nécessite l'intervention d'un réducteur, transporteur d'électrons ou d'hydrogène,...

• CHLOROPHYLLES

  • Écrit par Alexis MOYSE
  • 3 549 mots
  • 4 médias
  La photosynthèse se caractérise matériellement par un transfert d'électrons et de protons de l'eau au bioxyde de carbone qui se trouveréduit avec formation de glucides. Cette opération requiert de l'énergie et, dans les meilleures conditions, il faut 8 photons-grammes (8 einsteins) par molécule-gramme...

• COLORANTS

  • Écrit par Daniel FUES
  • 6 775 mots
  • 4 médias
  Les colorants au soufre sont insolubles dans l'eau. Ainsi, leur application en teinture passe par uneréduction alcaline pour aboutir à un composé soluble, appelé leucodérivé, qui de surcroît présente de l'affinité pour les fibres. Le colorant est ensuite réoxydé en sa forme insoluble, qui reste...

• CORROSION

  • Écrit par Gérard BERANGER et Jean TALBOT
  • 5 145 mots
  • 3 médias
  ...corrosion électrochimique, quelle qu'en soit l'origine, fait intervenir l'existence simultanée d'une réaction d' oxydation du métal sur les microanodes et d'une réaction de réduction de l'hydrogène ou de l'oxygène sur les microcathodes. Ainsi, dans le cas du fer plongé dans une solution aqueuse,...

• FERMENTATIONS

  • Écrit par Claude LIORET
  • 3 936 mots
  • 3 médias
  ...oxydation (III, 1, 11) portent sur une partie des atomes de carbone de la molécule catabolisée, lesquels s'oxydent (CO₂, radical −COOH). Elles produisent un pouvoir réducteur (NADH₂, NADPH₂, [H₂]), qui, au cours de réactions de réduction (4, 6, 8, 15, 17, 21, 23, 27), transforme l'autre fraction des atomes...

• MAGNÉSIUM

  • Écrit par Maurice HARDOUIN et Michel SCHEIDECKER
  • 4 275 mots
  • 8 médias
  À la suite des travaux de H. Sainte-Claire Deville et de O. Caron (1857), laréduction chimique du chlorure de magnésium a été la première méthode industrielle employée pour produire le métal. À la fin du xix^e siècle, cette méthode a été complètement abandonnée et remplacée par le procédé...

• MANGANÈSE

  • Écrit par Bernard DUBOIS , Jacques FAUCHERRE , Gil MICHARD , Clotilde POLICAR et Jean-Louis VIGNES
  • 6 411 mots
  • 7 médias
  Le ferromanganèse carburé (Mn : de 76 à 80 p. 100, Fe : de 12 à 15 p. 100, C < 7,5 p. 100, Si < 1,2 p. 100) est au manganèse ce que la fonte est à l'acier. Il peut être produit soit au haut fourneau (30 p. 100 de la production), soit au four électrique (70 p. 100 de la production). Sa métallurgie s'apparente à celle de la fonte, sauf que laréduction de MnO (oxyde stable au-dessus de 1 200 ⁰C) par CO est plus difficile que celle de FeO. Contrairement à FeO, MnO est principalement réduit par...

• MINES, Antiquité gréco-romaine

  • Écrit par Claude DOMERGUE
  • 12 770 mots
  • 1 média
  La réduction, qui consiste à séparer l'oxygène du métal contenu dans les minerais, et par la même occasion à éliminer la gangue qu'il renferme encore, se déroule dans un fourneau conçu à cet effet. Les informations sur la réduction des minerais de cuivre, d'étain et de plomb-argent dans les...

• MITOCHONDRIES

  • Écrit par Roger DURAND
  • 10 932 mots
  • 20 médias
  La plupart des réactions chimiques rencontrées dans les cellules sont des réactions d'oxydoréduction. Par définition, une réaction d'oxydoréduction est constituée de deux couples oxydoréducteurs pouvant exister dans leur forme réduite et leur forme oxydée :

  

  Si le couple A a la plus...

• NITRÉS DÉRIVÉS

  • Écrit par Jacques METZGER
  • 1 915 mots
  • 1 média
  Dans le cas des dérivés aromatiques, laréduction peut être ménagée et on obtient, en fonction du pH, divers intermédiaires. En milieu neutre ou faiblement acide, on s'arrête à la phénylhydroxylamine, par action du zinc en poudre dans une solution aqueuse de chlorure d'ammonium, ou par...

• PHOTOSYNTHÈSE

  • Écrit par Jean LAVOREL , Paul MAZLIAK et Alexis MOYSE
  • 10 293 mots
  • 14 médias
  ...énergétique évoquée ci-dessus : l'électron se trouve porté, à l'issue du deuxième acte photochimique, à un potentiel suffisamment réducteur (— 1,0 volt) pour réduire facilement le NADP. Comme pour le photosystème II, plusieurs accepteurs associés au centre : A₁, A₂, etc., de la famille des ferrédoxines...

• POUDRES MÉTALLURGIE DES

  • Écrit par Gérard BERANGER et Georges CIZERON
  • 5 031 mots
  • 6 médias
  Les méthodes chimiques sont utilisables pour un grand nombre de métaux. La plus employée est laréduction d'un composé (généralement un oxyde, plus rarement un sulfure ou un chlorure) par un agent chimique (gaz, liquide ou solide) qui fractionne le composé en métal à l'état de fins granules et en...

• ROCHES (Formation) - Diagenèse

  • Écrit par André JAUZEIN
  • 2 015 mots
  • 4 médias
  Ladeuxième étape (II) correspond à une zone réductrice où la vie anaérobie domine. H₂S est abondant, et les oxydes de fer sont transformés en FeS, puis FeS₂ (marcassite en pH neutre ou légèrement acide, pyrite en pH légèrement alcalin). Le pH peut atteindre des valeurs qui permettent la mobilisation...

• SOUFRE

  • Écrit par Fernande CHATAGNER , René LECLERCQ , Noël LOZAC'H et Serge MASSON
  • 6 536 mots
  • 13 médias
  ...l'incorporation directe des sulfates dans des molécules organiques pour la formation des esters sulfuriques, l'utilisation des sulfates nécessite leur réduction préalable en sulfites, et leur « activation » par des enzymes qui consomment de l'ATP. Il s'agit alors du métabolisme « assimilatoire » existant...

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