MALLARMÉ STÉPHANE (1842-1898)
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Articles
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POE EDGAR ALLAN (1809-1849)
- Écrit par Gilles MENEGALDO
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Edgar Allan Poe, un des écrivains américains les plus célèbres, longtemps controversé dans son pays, a très tôt été reconnu comme un auteur majeur en France grâce aux traductions de Baudelaire et Mallarmé, et aux propos admiratifs de Paul Valéry. Grand inventeur de formes, il est l’un...
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POÈME EN PROSE
- Écrit par Jacques JOUET
- 1 013 mots
La frontière qui sépare la poésie de la prose n'est guère indiscutable qu'aux yeux de ceux qui réduisent la poésie à la seule versification. Pourtant, cette frontière — son tracé ou bien son existence même — n'a jamais cessé d'être contestée de toutes parts, à toutes les époques....
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POÉSIE
- Écrit par Michel COLLOT et Dominique VIART
- 9 394 mots
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...relations qu'un mot peut nouer avec les signifiés et les signifiants qui l'entourent : le mot nuit, par exemple, ne revêt pas les mêmes connotations lorsque Mallarmé le couple à la rime avec le verbe nuire (en évoquant « Le sépulcre solide où gît tout ce qui nuit / Et l'avare silence et la massive nuit »)... -
RIEN (philosophie)
- Écrit par Jean GREISCH
- 1 252 mots
« Non, rien de rien, non, je ne regrette rien... » : tout le monde, ou presque, connaît la chanson d'Édith Piaf. Quel sort les penseurs doivent-ils réserver au « rien » ? S'agit-il d'un signifiant vide, indicible et impensable, voire d'une puissance de mystification, qui entraîne la ...
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SONNET
- Écrit par Bernard CROQUETTE
- 1 037 mots
Poème à forme fixe de quatorze vers répartis en quatre strophes, le sonnet tient dans la littérature européenne, et notamment française, une place extrêmement importante. On sait qu'« un sonnet sans défaut vaut seul un long poème » (Boileau), et qu'il suffit d'un sonnet pour rendre...
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SYMBOLISME - Littérature
- Écrit par Pierre CITTI
- 11 859 mots
- 4 médias
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VALÉRY PAUL (1871-1945)
- Écrit par Michel JARRETY
- 7 553 mots
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...rencontres, celles de Gide, et de Pierre Louÿs dont Valéry recherchera la pertinence des réflexions sur ces travaux en cours, ni la lecture de Rimbaud, et de Mallarmé à qui il écrit dès 1890 et qu'après son installation à Paris il fréquentera avec une assidue ferveur jusqu'à sa mort – dont il faut pleinement...
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