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SYMBOLE

Articles

  • RENAISSANCE

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    • 31 095 mots
    • 21 médias
    ...c'est-à-dire disposés dans une attitude humaine, où la précision extrême du dessin n'empêche pas l'imagination ou la raison de méditer sur la condition humaine ? Dans l'immense forêt de symboles où se complaît la sensibilité de l'homme de la Renaissance, une plante, un animal, une figure géométrique, la...
  • JUNG CARL GUSTAV (1875-1961)

    • Écrit par
    • 5 215 mots
    • 1 média
    ...rapport aux attitudes conscientes. C'est une production naturelle qui doit être examinée comme telle, au même titre qu'une fleur ou qu'une gemme. Les symboles qu'il met en œuvre pour peindre une situation ne sont pas uniquement des signes, des allégories créées par une fonction de « censure » servant...
  • MAGIE

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    • 11 248 mots
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    Il faut parler maintenant du caractère conventionnel et traditionnel de la magie. D'abord, dans la magie imitative, toutes les qualités du symbole ne sont pas transmises au symbolisé ; on n'en retient qu'un : de l'argile, sa mollesse ; de l'argent, son éclat ; il y a là une abstraction extrêmement artificielle...
  • MASQUES

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    • 2 481 mots
    • 3 médias
    Un autre problème se pose : celui de la représentation du masque. Peut-on toujours en décrypter le symbole ? Certains sont des œuvres non figuratives avant la lettre. Parfois on peut se demander si l'on est en présence d'un porteur de masque ou du présentateur mobile d'un objet ...
  • MONUMENTS AUX MORTS

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    • 3 302 mots
    • 4 médias
    ...ou des figures féminines qui mêlent non sans ambiguïté veuve, Marianne et Victoire. Quant aux coqs gaulois, aigles impériaux vaincus ou casques à pointe foulés au pied, ils parlent un langage nationaliste qui se superpose àd’autres symboles, allant du message nuancé à la surenchère implacable.
  • MYTHE - L'interprétation philosophique

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    • 12 836 mots
    • 1 média
    ...connaître. Mais, en même temps, c'est la tâche de la philosophie de montrer que cette aliénation comporte en elle-même l'exigence de son dépassement. On peut bien rapporter à l'influence de Hegel cette affirmation selon laquelle « une idole doit mourir pour qu'un symbole naisse ». C'est, en effet, la...
  • NATION - Nation et idéologie

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    • 7 481 mots
    Les manifestations d'unité ne peuvent être perpétuelles. D'où l'importance particulière dessymboles qui marquent à tout moment l'appartenance au groupe ethnico-national : tatouages, scarifications, peintures corporelles et mutilations, costumes nationaux, drapeaux et emblèmes, types de maisons...
  • OBJET

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    • 8 211 mots
    ...nécessairement comme sujet, car il est ce dont on dit quelque chose, le concept étant, dans son usage propre, prédicat. D'autre part, l'opposition entre symbole « saturé » et « non saturé » : le symbole d'objet est saturé en ce qu'il est complet en lui-même, alors que le symbole de concept (ou plus généralement...
  • ORDRE SYMBOLIQUE

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    L'expression « ordre symbolique » est peu attestée sinon chez le psychanalyste Jacques Lacan. Ce dernier reprenait ainsi sous une forme originale un courant de pensée, qui, avec des variantes, est représenté par le philosophe Ernst Cassirer, les linguistes Ferdinand de Saussure et Roman...

  • PARAPLUIE, histoire de la mode

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    • 1 078 mots

    L'homme a toujours cherché à se protéger du soleil et de la pluie au moyen de dispositifs mobiles et portables : parasols, ombrelles, parapluies et en-cas ont répondu, au fil des siècles, à cette demande. Le parasol, objet d'utilité pratique dont l'origine reste obscure (certains la font remonter...

  • LA PHILOSOPHIE DES FORMES SYMBOLIQUES, Ernst Cassirer - Fiche de lecture

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    • 655 mots
    L'opposition entre mythe et symbole permet de lire a posteriori la thèse centrale de La Philosophie des formes symboliques comme l'affirmation d'un pouvoir libérateur de la culture. L'homme est un « animal symbolique ». Il ne cesse de produire du sens ou, pour le dire autrement, de construire...
  • PRAGMATISME

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    • 4 614 mots
    ...théorie, que Dewey emprunte à Peirce et développe dans sa Logique, est admise aujourd'hui en Amérique au niveau de l'expression tout au moins. On y distingue le signe et le symbole qui sont les supports du sens et de la signification. Le signe-sens renvoie au monde des choses : il désigne. Le...
  • RATIONALISME

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    • 7 634 mots
    ...s'écarterait au contraire du rationalisme si l'on recevait comme connaissance achevée et authentique l'impression pure et simple prise comme telle, ou l'image. Et les épicuriens et les stoïciens eux-mêmes, qui placent de telles impressions reçues par les sens à la source du savoir, décrivent chacun à leur manière...
  • RELIGION - Religion et idéologie

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    • 3 573 mots
    La structuresymbolique de celles-ci est mieux connue. Plus exactement, elle est reconnue. On accorde que la religion a un langage à elle, celui du symbole, irréductible au langage purement conceptuel. On discerne que le symbole fait « sursignifier » un sens premier, qui lui sert d'attache et de matrice,...
  • RELIGION - L'anthropologie religieuse

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    • 6 612 mots
    • 1 média
    ...laissé, suivant un mot de Lévi-Strauss, « la cicatrice de leur arrachement ». Il faut, si l'on préfère, considérer les religions comme des systèmes de symboles, dans le sens le plus large du terme : un instrument, un geste sont des symboles au même titre qu'un dessin ou une parole. C'est le mérite de...
  • RÊVE

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    • 4 217 mots
    ...figure langagière qui domine la parole et l'organisation sociale moderne, on vient de suggérer qu'elle tient le déchiffrement et la lecture des symboles pour des fantaisies de « primitifs ». Elle va plus loin encore : c'est le rêve lui-même qui, de ce point de vue, finit par perdre toute réalité,...
  • SCEPTRE

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    • 904 mots

    Depuis l'Antiquité, bergers, rois et dieux portent de longs sceptres qui sont le signe de leur autorité sur le troupeau, sur le peuple ou sur le cosmos. On y place souvent au sommet un emblème destiné à montrer quelle est la source de ce pouvoir, le symbole de la divinité tutélaire,...

  • SOI (psychologie)

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    • 1 327 mots
    • 1 média

    « L'endroit où le soi, le non-moi psychologique, est endormi est l'endroit le plus banal du monde — une gare, un théâtre, la famille, la situation professionnelle. » La psychologie des profondeurs telle que l'a théorisée Carl Gustav Jung repose sur une distinction entre deux...

  • SYMBOLIQUE

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    • 2 386 mots
    • 2 médias

    Le symbolique constitue une topique, la topique du symbole. Alors que le signe est arbitraire, inventé, unilatéral, sans vie, épuisé dans sa définition, clair et défini dans sa signification, le symbole est plus qu'un signe quelconque ; c'est originairement un signe de reconnaissance, puisque l'...

  • SYMBOLIQUE, psychanalyse

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    • 393 mots

    Le mot « symbolique » est employé sous sa forme substantive par Freud dans L'Interprétation des rêves : il désigne les symboles ayant une signification constante tels qu'on peut les retrouver dans certaines productions de l'inconscient et notamment le rêve. La cinquième...