Rares sont les œuvres, créées dans la Grèce classique, qui aient connu une postérité semblable à celle d'Antigone et un foisonnement aussi vigoureux d'adaptations que celui suscité par la pièce la plus célèbre de Sophocle : Hölderlin la traduit en 1804, Anouilh en propose une version audacieuse...