Dostoïevski ne fut pas, comme Tolstoï, un seigneur dans son domaine. Citadin sans fortune, écrivain vivant de sa plume, il créa dans l'angoisse et la maladie, avec une énergie surhumaine. Il ne connut la gloire que dans sa dernière année, mais la postérité l'a placé, au-dessus peut-être de Tolstoï,...