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Juan Antonio Samaranch, lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux d'hiver de Nagano, en 1998. Le Catalan devint président du C.I.O. en 1980, juste après les caricaturaux Jeux de Moscou. Il restera en fonction jusqu'en 2001. À ce poste, il va réformer en profondeur le mouvement olympique, qu'il va ancrer dans la modernité. Sous l'impulsion du marquis de Samaranch, le C.I.O. va définitivement oublier la figure tutélaire du baron de Coubertin et ses « valeurs » désormais dépassées. Faut-il le déplorer ou faut-il s'en réjouir ? La réponse à cette question appartient à chacun...