Au lendemain de la mort d'André Fermigier, son « plus vieil ami », Pierre Nora, écrivit dans Le Nouvel Observateur : « Il y avait en lui du Proust inaccompli, du Stendhal des Mémoires d'un touriste, du Larbaud amoureux du cœur frais de la France, de l'Émile Mâle et du Focillon...