Sommeil-rêve-éveil : endormissement et sommeil lent (d'après Valatx, 1995).
En a, activation corticale : noyaux cholinergiques mésopontins : Ach (1), agissant sur les récepteurs nicotiniques des noyaux intralaminaires (4) et les récepteurs muscariniques du noyau réticulaire (4a) du thalamus ; noyau magnocellulaire bulbaire (2) se projetant sur l'hypothalamus postérieur non histaminergique, non H (3), le thalamus (4) et le noyau basal de Meynert (5). En b, atonie musculaire : la voie principale est constituée par les neurones glycinergiques (Gly) du noyau magnocellulaire (2) projetant sur les motoneurones spinaux et des nerfs crâniens oculo-moteurs (VI) et facial (VII). Ces neurones reçoivent des afférences (glutamate) du « locus coeruleus » a et peri-a (1b). Quelques neurones du « locus coeruleus » (Gly ?) se projettent sur les motoneurones spinaux. Le contrôle inhibiteur des réseaux du SP est schématisé en (8) par les neurones de la substance grise péri-aqueducale et, en (9), par ceux de l'hypothalamus postérieur. En c, activités phasiques : neurones PGO-on (1a) projetant sur le thalamus, le noyau genouillé latéral (4b) et le pulvinar (4c) ; relais vers le cortex occipital (5).
Encyclopædia Universalis France - Conditions d'utilisation